[/color=#9e9393]Je participe en tant que participante!! *z*[/color]

Miciii

On envoie notre "histoire" a qui...?

Je le poste ici, sur ce sujet, et quand je veux? Nombre de lignes comme on veut?

L'aventure.

Moi. Je me nomme Lilia et je suis une fille d'une quinzaine d'années, cheveux blonds, yeux verts. Je suis passionnée par les animaux depuis ma plus tendre enfance.  Depuis deux semaines, c'est les vacances.Je vis chez moi, avec mes parents, mon frère de 17 ans, et Tatiana, ma soeur de 2 mois et demi. Nous vivons tous a proximité d'une ferme, en pleine nature, éloignés de la ville. Les jours de lycée, nous devions aller a l'école a pied et se lever tôt pour arriver a l'heure.Nous n'avons jamais besoin de rien, nous étions pauvres. Malgré tout, je vivais avec l'espoir qu'un jour, je pourrais avoir un cheval. Mon plus grand rêve. Nous étions heureux. Cependant, trois jours avant la rentrée..

Je dormais a poings fermés quand j'entendis rentrer Dylan, mon frère, et mon père du bar. J'ouvris les yeux difficilement et regardais mon réveil: trois heures du matin. Je soupirais. Ils avaient encore profité de la bière anglaise...
J'enfilais mes chaussons aux têtes de lapin et descendit le escaliers sans faire un bruit. À travers la rampe d'escalier, j'observais la scène. Ma mère criait sur mon père, qui, lui, hurlait des griots mots dans la maison, ainsi que mon frère, lui, était affalé dans le canapé du salon, a murmurer des mots incompréhensibles.
-"Henri, Dylan n'a que 17 ans, il n'est pas en âge de boire autant que toi et avec tes conneries!" Cria fortement ma mère en pointant Dylan du doigt.
-"Et alooors? Je m'en fout, dégage laisse nous profiter!" Répliqua sèchement mon père.
Choquée, je remontais discrètement les escaliers.
C'est à ce moment là que mon chien me sentit et dévala les escaliers en aboyant.
Horrifiée, je savais que mes parents avaient entendus et que papa venait me frapper.
Transie de peur, je fis signe a mon chien de se taire.
Entendant papa qui montait, je pris mon chien dans les bras et fit une "corde" avec mes draps.
Je descendis par la fenêtre rapidement, Kafi dans mes bras.
-"Elle s'est sauvée!!" Hurla mon père au loin tandis que je courrais vers la ferme abandonnée.
Le vent sifflait fort a mes oreilles et des flocons commençaient a tomber.
Je n'etais qu'en robe de nuit bretelles.
Je m'allongeais sur la l'aile de la ferme abandonnée et posais Kafi à côté de moi.
J'entendis du bruit vers le grenier, un bruit de pas.
-"Qui est-là?" Fit une voix venant du haut.
Je ne répondis pas, cachée derrière le mur d'un box, attendant de voir qui c'était.
La personne descendit et je pus apercevoir un jeune adolescent d'à peu près mon âge, aux cheveux bruns, et aux yeux bleus. Il avançait droit vers moi.
Avait-il vu mon pied dépasser? Ou une mèche de mes cheveux?
Il se baissa et se retrouva à côté de moi.
Il me regatda dans les yeux et entama la conversation.
-"Salut, tu t'appeles comment?
-Lilia...Et toi?
-Moi c'est Jacob. Tu fais quoi ici sinon?
-J-Je fuis des histoires de famille avec mon chien, Kafi.
-Ah..je vois..Moi je vis ici depuis quatre ans maintenant."
Nous restâmes plusieurs jours a vivre ensembles, dans la vieille ferme.
Nous avions de quoi manger, de quoi dormir, de quoi se divertir, et et de quoi se laver.
La rivière était proche, les réserves de nourritures abondaient.
Un jour, il me banda les yeux et me dit de me laisser faire.
Il me conduisit droit vers la maison de mes parents.
Les yeux bandés, je ne savais rien.
Une fois arrivés, il enleva mon bandeau et me fit entrer.
-"Non! Je ne rentrerais pas dans cette...cette..
-Vas-y...Il n'y a plus personne..."
J'entrais, malgré moi.
Ce que j'aperçus fit le spectacle le plus triste de toute ma vie.
Mes parents, a force d'avoir trop bu, s'étaient écroulés et leurs cœurs ne battait plus.
Mon frère...lui, était penché sur Tatiana, un couteau a la main, saoul.
Je me precipitais pour lui arracher le couteau des mains mais, tro tard.
D'un mouvement brusque, il avait planté le couteau profondément dans le coeur de ma soeur.
Du sang rouge vif coulait de son lande au blanc, a présent taché de rouge.
Mon frère était mort en faisant autant d'efforts en était saoul.
Trop de deuil...Les larmes aux yeux, j'emportais les corps et les enterrait devant la maison.
Quelques années après, Jacob et moi vivions tous deux dans l'ancienne maison qui m'avait tant marquée.
Ma vue était réussie, et de justesse.