Informations pertinentes de l'histoire

*bouboum...bouboum* le bruit régulier du coeur de ta mère te réchauffe, tu sens la douceure de cette chaleure qui te berce depuis maintenant plusieurs lunes envahir ton jeune petit corps qui a enfin atteint sa majorité. Tu peux sortir maintenant. Oui, tu le sens, tu sens des pressions, qui t'écrase contre les paroies de cette endroit chaud. Elles deviennent plus insistantes, comme pour te réveiller, pour que tu sorte affronter le froid d'un autre monde. Tu remu, tu essais de ne pas sortir, mais les pressions se durcisent en haut de ton petit monde. Tu es sortie. Tu respire a plein poumon un air très frais, un air que tu n'avais jamais connu empli d'odeur étranges que jamais tu n'avais senties. Quelque chose de très rugeux passe sur le haut de ton front comme pour t'enlever le liquide gluant qui t'entourais. Tu gémis sans savoir pourquoi. Tu essais de faire comprendre quelque chose à cette chose qui te lèche. Mais tu n'y arrives pas. L'être ne te comprend pas, tu as peur, mais cette chaleur que chaque coups de chose rugeuse provoque te rapelle vaguement ce que tu as connus avant. Soudain, tu semble comprendre. Tu remue la queue pour exprimer un sentiment que toi même tu ne comprends pas encore. Est-ce de l'amour ? Du contentement ? De la joie ? tu l'ignore mais ce que tu sais c'est que la peur que tu avais ressentie s'est évaporée.

Soudain, quelque chose t'attrape par la nuque, tu n'as pas mal, et jamais tu n'auras mal à cet endroit étant un endroit graisseux. tu ne touche plus la chose sur lequel tu te tenais. Tes yeux sont encore fermés, un liquide visqueux t'emêches de les ouvrire, tu ne sais où tu vas, mais ce qui est sûre c'est que tu y vas. Tu remue tes petites pattes blanches, a moitié encore recouvertes par le premier liquide collant. Un bruit. Un grognement... L'être qui te transporte s'arrête, le grognement devient plus instant. Tu touches soudain une surface dûre. Un nouveau bruit se joint au premier, aux mêmes intonations, un nouveau grognement. Le monde semble s'arrêter pour toi, tu as de nouveau peur de l'inconnu.tu entend un gémisement ta peur s'accroît, ta respiration ralentie, tu tremble ? Ce n'est pas le froid qui cette fois te fait trembler. Tu sais très bien ce qui s'est passé, mais tu ne peux en être sûre. Soudain, on te reprend par cette endroit graisseux dont tu as compris la fonction primaire. Ce n'est plus le même être, il t'a attraper plus violement. Une nouvelle odeur se propage dans l'air : Celle du sang.

Tu as maintenant 10 lunes tu vis seule avec des loups que tu vois rarement. Tu vois mainteant, tu percoit le monde qu'au par avant tu conaissais pas, et tu n'a plus peur, tu as une particularité que les tiens non pas, tu peux voler, tu à cette puissance dans tes rêves, tu te vois avec la lune volant vers les étoiles. Mais ce ne sont que des rêves car en réalité tu souffre, car il y a peu de temps on ta remémoré cette horrible première soirée de ta vie, dont tu ne te souviens que d'une chose : ta peur. Tu grandis vite et tu développe tes aptitudes physiques inées. Tes mouvements sont plus préçis, tu es capable de bondir plus haut, de courir plus vite, et surtout de tuer. Tu n'as pas connu tes parents, tu n'as pas eu de famille au sens propre du terme, mais les êtres qui t'on épargnée cette nuit là t'on enseigner tout ce qu'ils avaient appris. La pluie tombe au sol devant toi, tu la regarde, sans mouvement ni réactions. Tu entend les mêmes grognement, tu te réveil, des êtres possédant la même morphologie que toi se tienne en face des tiens. Tu tremble, tu n'es plus seule, ils ont des ailes... Tu ferme tes yeux, et au moment de les rouvrir une force s'empare de ton corps, une lumière s'en échappe, une lumière pâle, pâle comme la lune qui trou les nuages au dessus de toi. Tu ne contrôle plus rien, tu as peur, de nouveau cette peur, émotion infâme que tu ressentais si peu. Tu entend des gémissement, tu sens ton corps bouger, oui, tu le vois marcher vers les inconnus, mais tu ne les attaques pas. Les loups qui gémissent ne sont que ceux qui t'on élevée depuis tout ce temps. Tu souffre, tu arrives tout de même à exprimer tes émotions, tu pleur. Oui. Des larmes transparentes coulent le long de ton pelage glissant sur tes marques et ne s'arrêtant qu'une fois au sol. Tu as tué ceux qui ont prit de leurs temps pour te venir en aide. Tu t'envoles, les autres te suivent tu pars, et tu arrives. Dans une nouvelle famille, des êtres comme toi, avec des pouvoirs. Dont un que tu hais mais que tu aimes n'est-ce pas ? Ce certain Hellyos ?